• Chapitre II – La découverte d’un monde opposé : The Past.

     Nine se réveillait,étourdi par le flash de lumière. Ouvrant les yeux,il se croyait une nouvelle fois dans son rêve. Le bel océan bleu reflétant le ciel se présentait une nouvelle fois à lui,le même qui le plongea dans un bonheur qu’il ignorait. Sauf que cette fois,il ne fut pas seul. Il se leva brusquement en réalisant qu’il était entouré d’innombrables humains. Il n’en croyait pas ses yeux : mais où était-il donc ? Cet endroit différait complètement de sa vision du monde : alors qu’il avait passé dix-sept longues années dans l’insalubrité totale générée par les machines de guerre,il découvrait à peine un nouvel univers : tous ces visages affichaient des sourires,tous semblaient dégager une véritable sérénité…Après quelques minutes de contemplation,Nine voyait dans les traits de cette ville inconnue celles qui subsistaient encore dans son monde : était-ce le passé de son ancienne ville,avant la destruction totale ? Sans doute,et cela commençait alors à le fasciner. Il se leva et commença à marcher dans la ville. Il regarda dans une poubelle afin d’attraper un amas de papier qui semblait être un journal. Il regarda la date avec une surprise totale : 24 Mai 2011…Il était transféré vingt ans en arrière ? Il vivait donc dans le passé de l’humanité ? Il n’en revenait pas ses yeux. Cet univers était si fascinant…

                Nine marchait dans les rues. Il était sans cesse ébloui par cette vivacité dont l’humanité faisait preuve,par ces sourires qui s’affichaient sur tous les visages qu’il rencontrait. Nine se sentait heureux. Non pas parce qu’il ressentait ce sentiment dans son cœur à l’heure actuelle,mais parce qu’il se sentait enveloppé par cette atmsophère bienveillante. Ce monde semblait ne pas souffrir de la guerre…Tandis qu’il marchait,il reconnaissait de plus en plus les rues de la ville,il apprit entre autres que cette ville se prénommait Millenium…La plus belle ville qui n’ait jamais existé,il comprenait pourquoi maintenant. Tandis qu’il retournait sur la plage,une personne au visage familier lui apparut. Il se sentit intrigué : il n’avait pratiquement connu personne d’il y a vingt ans,lui-même n’était pas né. C’était tout bonnement illogique pour lui. Pourquoi avait-il l’impression de connaître cette personne ? Elle avait de longs cheveux,d’un violet extrêmement profond. Cet homme,dont les traits s’assimilaient aux miens,avait les yeux noirs avec des reflets violets sur le visage. Il semblait avoir connu la guerre,comme Nine. Mais il dégageait quelque chose d’incroyable…Cette aura effrayante que Nine arrivait à ressentir ne concordait en rien avec l’expression de bonheur qui s’affichait sur son visage apaisé de ses cicatrices. Il était accompagné d’une charmante jeune femme. Elle aussi avait les cheveux violets,et des yeux de la même couleur. Elle aussi,on aurait cru que ses traits étaient ceux d’une femme qui s’est battue enfin de connaître la paix. Elle aussi était si souriante…En quoi ces deux personnes avaient-ils un lien avec Nine ? Il retourna sur ses pas et il continua de découvrir la ville telle qu’elle fut autrefois. Au centre de celle-ci,une sorte de dispositif crachait par des tuyaux stylisés du liquide qui semblait identique à celui de l’océan. Nine connaissait le terme approprié…Une fontaine. C’était une fontaine qui accueillait ainsi l’eau. Au loin,il voyait déjà des enfants patauger dans ce liquide…Etait-ce l’eau de l’époque ? Si pure et potable ? Il fut soudain pris d’une envie de plonger dans cette eau. Il se laissa naturellement asperger par celle-ci et ressentit enfin un véritable apaisement.

                En l’espace d’une heure,il avait quitté les sensations de son époque. Pourtant,s’il était là,c’était pour une raison particulière. Il reprit son sérieux,et commença a réfléchir à sa situation. Une fois qu’il était là,que devait-il faire ? Il devait avant tout se trouver une position. Personne ici ne le connaissait en toute logique. Il n’était personne à cette époque,et lui-même ne savait pas si ses parents étaient encore vivants. Autre chose,comment comptait-il survivre dans ce milieu ? Il ne savait absolument rien de l’économie et ses études s’étaient limitées à de vieux livres. En quoi cela pourrait-il lui être utile ? Il avait 17 ans et il était conscient que ses connaissances étaient certainement insuffisantes. Mais il pouvait se reporter à autre chose : il y avait une bibliothèque à l’autre bout de la ville. Il s’y dirigea donc et y trouva bon nombre d’ouvrages qui allaient certainement combler son manque certain de connaissances. Il prit donc soin d’emprunter une douzaine de manuels du programme du lycée,deux par matières,recouvrant largement ce qu’il doit savoir : deux livres de Français,deux de Math,deux d’Histoire-Géographie,deux d’Anglais et deux de Latin. Sachant que trois des sujets des manuels lui étaient totalement inconnus jusque-là : en effet,la guerre ne lui a pas permis d’apprendre les Mathématiques tout comme l’Anglais et le Latin…

                Mais Nine devait bien évidemment trouver un refuge. Dans le temps,comment se débrouillaient les humains pour trouver un logement ? Ce n’était pas chose facile. Il se dirigea alors vers un endroit où des sortes de bois avec des masses verdoyantes se tenaient. Il n’y voyait pas grand monde,sans doute pouvait-il s’y réfugier pour commencer sa nouvelle vie. Pourtant Dieu sait qu’il ne savait que très peu de choses de cet univers totalement nouveau. Il dut construire une cabane avec le peu de bois déjà découpés qui trainaient dans les environs.

                Les semaines passaient et Nine continuait sa vie clandestine. Il consacra tout son temps à l’apprentissage de toutes les connaissances qui étaient à sa portée. En l’espace de quelques temps,il connaissait le contenu de ses livres par cœur. Il s’était pris de passion pour la littérature en particulier et s’était gonflé de connaissances littéraires que rares possèdent : il connaissait Le Parfum de Süskind comme Gargantua ou Pentagruel de Rabelais comme sa poche,en passant par Baudelaire...En tout cas dans la littérature française. Encore devait-il s’inclure dans la société à présent. Il se promenait seul un Dimanche,sur la plage. L’endroit était désert,cela lui apportait un peu de changement dans la vie morose qu’il a menée jusqu’à présent. Nine s’assit sur le sable,comme dans son rêve,et voulut une nouvelle fois se plonger dans un monde où lui seul était maître. Mais tandis qu’il était sur le point de s’abandonner,une personne se présenta à lui. Celle-ci était de la même taille que lui. Elle avait des cheveux plus courts que la jeune femme de tout à l’heure,mais la teinture était équivalente ainsi que la coupe. Son visage dégageait une parfaite douceur. Elle portait une chemise noire qui recouvrait son T-Shirt. Une manière très simple de se vêtir,d’autant qu’elle ne portait qu’une jupe de la même couleur,et ses jambes se terminaient sur de simples ballerines.

     

    « Oh,tiens,j’ignorais que quelqu’un était là,fit-elle d’une voix agréable.

    - Euh…Il faut voir que si,balbutiai-je,pris de surprise.

    - Je ne vous ai jamais vu dans le coin. Vous êtes nouveau par ici ?

    - Ca,pour être nouveau…Oui,je viens de très loin en fait. Je ne connais pas cet endroit. Je n’ai jamais vu de lieu aussi resplendissant,vous ne trouvez pas ?

    - Tout à fait. Mais diantre,je viens de remarquer dans l’état dans lequel vous êtes,d’où venez-vous ?

    - C’est une très,très longue histoire,compliquée par-dessus le marché.

    - Oh je vois…Je m’appelle Reiko Kitamori. Enchantée.

    - Je m’appelle Nine. Nine Night. Enchanté également.
    - Quel nom rare,je ne l’avais jamais entendu auparavant.

    - Oh,tant que ça ?

    - Certaine. Puis-je savoir où vous habitez ?

    - Je n’ai pas de demeure en fait…Disons que j’habite dans la forêt. J’ai construit une cabane avec ce qui était à ma disposition.

    - Mais diantre d’où venez-vous ?

    - De quelque part,soyez-en certaine.

    - Ne soyez pas si froid. Oh ! Je dois y aller. Nous nous reverrons !

    - Sans doute… »

     

    Quelle brève conversation pour Nine. A peine arrivé,celui-ci avait déjà fait la connaissance de quelqu’un. Peut-être avait-il fait une bourde dans la conversation,il n’avait jamais vraiment discuté avec quelqu’un. Tandis qu’il levait la tête,il réfléchissait à propos de cette fille. Il semblait la trouver…Attirante,sans doute. Elle semblait être la simplicité incarnée à ses yeux. Jamais Nine n’avait pensé à quelqu’un. Il n’avait pas vraiment le choix,en fait : vivant dans la guerre,il n’eut guère le temps de ne connaître que les cadavres. Le seul être a avoir partagé un semblant de sa vie jusque-là n’était autre que sa chienne défunte. Leur rencontre était particulière : Nine avait quinze ans. Vagabondant de village en village à la recherche de refuge,il était une nouvelle fois résigné à coucher dehors,en temps d’hiver. Mais alors qu’il rentrait dans son ancien refuge,il l’aperçut pour la toute première fois. Cet animal ne demandant que de l’aide était poursuivi par un garde robotisé. C’était sans doute en ce temps-là qu’une volonté inébranlable de survie fut insufflée dans l’esprit de Nine. S’interposant,il tenta de foncer sur le garde,qui ne peut l’arrêter qu’à moitié en lui tirant une balle dans l’épaule. Déterminé à protéger cette forme de vie,il se rua une nouvelle fois sur l’androïde,lui occasionnant de faibles dommages. A terre,la machine reprit aisément la situation. C’est à ce moment-là que sa vie fut sauvée. Par cette fameuse chienne. Le robot semblait déterminé à réduire en purée cet obstacle récalcitrant. C’est alors que celle-ci se montra et mit hors-circuit la création,en urinant tout simplement sur son système central. C’est ainsi que Molly et Nine se sont rencontrés.

                Nine était encore nostalgique,et une vague impression de mélancolie prit possession de lui quelques minutes. Rapidement ressaisi,il se leva de cette plage et retourna chez lui en toute indifférence. Mais tandis qu’il fut sur le chemin,il s’arrêta brusquement et se tourna en direction du soleil. Il pouvait enfin l’admirer en liberté,ce soleil couchant relaté par ces livres.


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    Plop,bonjour à tous,alors aujourd’hui s’est déroulée la convention nommée Japan Sun à Fabrègues (34 ; Hérault). Voici mon report :

    10h45h : Arrivée au lieu. C’est déjà rempli de monde. On va à la queue,y a déjà du cosplay =D. Dès notre arrivée,on est déjà pliés de rire par nos discussions. On entre,3€ la place,pas cher du tout,surtout sur ce qui nous attend.
    Entrée : A notre droite,sumo : on rapplique direct . Déjà,énorme : on enfile un costume et on se pousse comme des cons ! XD. Autant dire que c’était fort le truc. On a passé une partie de la matinée à cet endroit.

    11h15 : On rapplique côté jeux vidéos. Surprenant : rien à payer pour des parties de barbares. Au menu : Bomberman (un truc du genre) où des gars étaient à 16 dessus , deux jeux de danse dont 1 DDR (jsuis tombé de cul en voyant les participants jouer…) ; Super Smash Bros Brawl : c’était bondé,impossible d ejouer,en plus il y avait un tournoi…Enfin bref ; et un Naruto Shippuden JP sur Wii (qui était jap bien sûr). Avec un pote on se tabasse dessus,il me poutre sur la 2e partie,je prends Shino (car je l’aime bien Shino,un vrai chieur),et je le poutre aisément. On prend Tenten et on s’éclate,Tenten est fumée dans ce jeu x_x.

    11h45 : Je me dirige vers la partie Goodies en gros. Des trucs vraiment intéressants mais pas une once de Yu-Gi-Oh,mais aussitôt le tour fait (pas prêté un détail au Stand de Go qui se tenait discrètement),un pote m’interpelle et m’emmène au stand de Sumo…Okay .

    11h55 : Arrivé au stand,je m’inscris au tournoi de sumo (gratos aussi).

    12h00 : Le tournoi débute. Tour  1 : Benjamin (le pote qui m’a emmené) vs un gars. Benjamin le poutre sur les deux manches (car les matchs de sumo se déroulaient ainsi). Tour 2,Tour 3…Et vient mon tour. Aha ! Bon,1ere manche,je me fais gérer comme il se doit,2e manche,il me fonce tel un  bélier,je fais un pas de côté,il se mange le tatami,j’ai pris ses pieds et je les ai foutus hors du cercle rouge. Manche pour moi. 3e manche,idem que la 2e,sauf qu’il s’est pas laissé avoir. Tour suivant : un autre pote à moi dont j’ignorais l’inscription s’y colle…Il se fait jarter aussi vite qu’il est entré.

    12h10 : On se casse du stand,on mange pépère,et avec un pote on retourne au stand jeux vidéos…Le temps passe et on se barre à la galerie des Goodies…Je remarque qu’un Death Note est passé de 9 à 8,5€…Cool…Mais j’avais pas assez d’argent pour me l’offrir et j’avais autre chose en réserve. On fait un tour niveau karaoké et y a du Pokémon,Full Metal Alchemist,Dragon Ball Z,enfin bref…

    12h45 : On commençait à se faire chier…Quand on voit un stand de Go. Omagad ! Je rapplique en courant avec mon pote,on lui explique les règles,on joue. Il abandonnera 5 minutes plus tard après deux grosses captures. Il quitte la salle,et je reste au stand.

    14h15 : Toujours au stand,j’ai pas bougé de ma chaise,enchaînant les parties. Sur mes parties faites jusqu’à présent,une seule de perdue. (Terrain format normal soit dit en passant.) Quelle est l’utilité d’annoncer cette heure ? Bah ma mère m’appelle pour prendre de mes nouvelles,okay…

    16h30 : Quoi,déjà ? Punaise ! Bon,je vais faire un tour jeux vidéos,je relatte sur Naruto,je me rebarre à la galerie,je m’achète un collier FFVII : Advent Children (avec la tête de lion ou je ne sais plus quoi) et deux bagues que je trouvais à mon goût. Je squatte dehors,je vais vers le stand de Sumo,je me fais un petit round,je fais un aller-retour stand/galerie…Je ressors…Y a un pote à moi qui me saute dessus par derrière o_o’ ! (On était 5 dans la voiture,dont la petite amie à mon meilleur pote). Je me retourne,le gars me présente ses trois amies. On passe le reste de l’après-midi ensemble…Jusqu’à ce que…

    17h30 : Retour au stand de Go. Je joue pendant un bon quart d’heure avec un gars qui débutait mais qui m’a causé beaucoup de soucis…Et un autre qui m’a latté la tronche…Mais que j’ai surpris. Et là…TADAM !

    17h50 : Cosplay concours ! Bien entendu,il avait déjà commencé mais j’ai couru comme un dingue à un moment donné…Car cosplay de Devil May Cry oblige. Je filme,et 10 minutes plus tard je prends la photo de la cosplayeuse qui a fait Dante…Le costume et la Rebellion étaient bien faits !

    18h15 : Fermeture des stands…On se casse à la demie.

    Voilou ! Les images :

    Benjamin au premier round...(Vu de dos,en rouge)

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    Moi durant le tournoi...

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    La cosplayeuse de Dante (Devil May Cry) - Avouez que le costume est réussi quoi... :


    Voir taille réelle

     

    La vidéo :

    1er : 1er tour de Benjamin
    2e : Mon tour au tournoi de sumo
    3e : Cosplay de Devil May Cry

    Notez qu'au bout d'un moment,on crie "Charles !"...C'est moi.


     

    Phrase mythique de la journée : "Si tu perds,tu rentres à pied !"


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  • Bonjour à toutes et à tous ! Voici bien sûr un nouveau poème,ça fait un certain temps que je n'en ai pas écrit (comme de chapitre de Une Légendre,un Survivant ; mais le souci c'est que je n'ai pas trop le temps ni l'envie de m'y atteler,pourtant j'ai déjà prévu des chapitres à l'avance...). Après la pluie,le beau temps,alors je vous laisse lire ça =D :


    Un Soleil commun.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sous un soleil éblouissant,<o:p></o:p>

    Assis sur l’herbe,bercé par un doux ciel bleu,<o:p></o:p>

    Je regarde celui-ci tout en souriant,<o:p></o:p>

    Mon bonheur est tel que mon âme est en feu.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Depuis quand ne l’ai-je pas ressenti ?<o:p></o:p>

    Cette sensation que je croyais disparue,<o:p></o:p>

    Cette sensation que je croyais perdue,<o:p></o:p>

    Elle marque la volonté de mon repenti.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tant de choses auxquelles je suis passé à côté,<o:p></o:p>

    J’ai passé ma vie à souffrir de l’éternité,<o:p></o:p>

    Cherchant le pouvoir de sourire,<o:p></o:p>

    Et maintenant, mon esprit commence à fleurir.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je voudrais profiter de ces instants bénis,<o:p></o:p>

    Je voudrais les partager à l’infini,<o:p></o:p>

    Pour que tous vivent sous le même soleil,<o:p></o:p>

    Et qu’eux aussi, connaissent un bonheur sans pareil.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


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  • Solitude,rematch.

    Dans une sombre ruelle,
    Où à l'instant tout est envahi de pénombre ;

    Je marche tout seul,dans l'ombre,
    Tandis que la déchéance me frappe de plus belle.

    Ce coup de couteau donné sans répit,
    Ne fait qu'annoncer que ma vie est finie.
    Au final,je n'aurai vécu que dans l'ignorance,
    Cette misérable vie n'aura été qu'une enfance.

    Pourtant,et encore une fois,
    Seul mon corps succomba :
    Mon esprit,torturé par l'infini,
    Gardera toujours la plaie de l'infamie.

    Mon agresseur n'est autre que le monde,
    Ce tas de terre pitoyable qui m'accueille.
    Malgré ça tous ses habitants me tournent le dos,
    Ainsi l'on peut dire que l'humanité sonne faux.


    Deux faces.

    C'est toujours si facile d'aimer...
    Toutefois,le plus difficile reste de l'oublier ;
    Cet amour qui a pris soin de vous torturer,
    Et qui à la fin ne fait que vous délaisser.

    Il y a des gens qui vivent dans l'utopie,
    Pensant que leur amour est infini.
    D'autres vivent dans leur coin,
    En attendant la date de leur fin.

    Il y a des gens qui croient en l'éternité,
    Ceux qui vivent dans le bonheur croient vous le confirmer.
    D'autres vivent dans la déchéance,
    Ceux qui n'ont pas eu le droit de tenter leur chance.

    Il y a des gens qui jouissent de la joie,
    Pour eux,la vie est aussi douce que de la soie.
    D'autres attendent sans fin leur jour,
    Le jour où le bonheur leur ouvrira sa porte à leur tour.

    D'autres empruntent un autre escalier,
    Ceux qui peu à peu deviennent oubliés,
    Ceux qui peu à peu sont ignorés,
    Ceux dont l'amour les a oubliés.


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  • Oui,oui,encore un poème,je n'arrête donc pas...Comme beaucoup,mes poèmes font part de mes états d'âme,en voici un nouveau :

    Solitude.

    Sans ombre,sans soleil,j'avance,
    Dans un désert infini qui est la solitude,
    Où sans cesse je vagabonde dans la lassitude,
    Je marche tout seul,dans un unique sens.

    Je me recroqueville dans cet espace vide,
    Là où seuls les êtres tristent résident.
    Pourquoi n'y a t-il personne,alors ?
    Est-ce parce que l'amour me fait tort ?

    Je ne fais que vivre dans le repenti,
    Culpabilisant sur mon idiotie.
    Emprisonné,je regarde la Terre,
    Alors que je pleure dans ma prison de verre.

    Cette cage nommée solitude,
    J'y suis enfermé pour mon manque d'affection,
    J'attends toujours dans la lassitude,
    Le jour de mon incertaine libération.


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